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calme(évidemment), IMPRIMEZ LA PAGE.
Le lendemain,
A quelques centaines de mètre du lieu de l'explosion,
8h15 GMT.
" Colonel, Capitaine,
je ne savais pas que vous deviez venir jusqu'ici. Le J.A.G a
décidé d'ouvrir une enquête ? "
Un officier polonais, s'adressait
à Harm et Mac en anglais. Ces derniers s'étaient
levés pas très frais vers 7 heures. Ils n'avaient
pas reparlé de ce qu'ils s'étaient confiés
durant la nuit. Une fois de plus, on revenait au point de départ.
" Oui, en réalité,
nous n'avions pas prévu de venir jusqu'ici. Ca nous a
d'ailleurs causé quelques désagréments.
Enfin, nous voilà. " dit Mac.
" Pourriez vous nous conduire jusqu'au lieu de l'explosion
? " demanda Harm.
" Oh, pas la peine, vous voyez ces sapins là bas,
c'est juste derrière. "
" merci, mais…pourquoi ce lieu est il tellement protégé
? nous ne pensions pas trouvé tout un détachement
de l'armée polonaise. Pourquoi tant de surveillance, Capitaine
? "
" Je dois y aller. Colonel, Capitaine. ", et se mettant
au garde à vous, il s'éloigna.
" Bon, pas très coopératif. "
" oui, pas bon signe. "
Et tous les deux se dirigèrent
vers le petit cratère qu'ils apercevaient déjà
être large de 5m sur 6 m environ.
Arrivés au bord, ils regardèrent au fond, et quelle
ne fut pas leur surprise…
" Mais, on dirait
… "commença Mac.
" Webb ! " lança Harm assez fort pour qu'il
l'entende.
Une fois que celui ci
fut remonté :
" Mais que faites
vous ici ? " demanda l'espion
" je vous poserai la même question " enchaîna
le Capitaine.
" Simple mission de routine. "
" Nous aussi. "
" Ohlala, vous deux. Ne commencez pas. Webb, nous sommes
ici pour enquêter sur cette explosion, pour déterminer
si les Etats-Unis auraient pu éviter ce drame. Mais, et
vous, en quoi la CIA est elle concernée ? Je ne vois pas
bien ce que vous venez cherchez ici… "
" Simple mission de routine. " coupa-t-il en s'éloignant.
Une fois que celui-ci ne
fut plus en mesure de les entendre, Harm et Mac échangèrent
un regard plein d'incompréhension, puis :
" Je ne comprends
pas. Quel est donc le rapport avec la CIA ?Pourquoi envoyer un
espion ? "
" Oui, et pourquoi l'armée polonaise protège-t-elle
autant ce lieu ? Nous sommes arrivé de nuit, mais vous
avez du remarquer, Mac, qu'il y au moins une centaine de militaires
armés postés dans un périmètre de
1 kilomètre. "
" je propose que nous allions interroger des autochtones
pour voir s'ils n'ont rien noté de spécial ces
derniers temps. "
Une heure plus tard,
A 5 kilomètres de là.
" Tiens une ferme
là-bas. "
" Oui, allons -y. "
" Bonjour Madame, parlez vous anglais ? " tenta Harm
en un russe très approximatif.
" Oui, un peu. Mon fils être informaticien à
Philadelphia. " lança-t-elle avec un sourire si fier
que le père de Rockfeller pourrait être jaloux.
" Avez vous entendu un bruit particulier dans la nuit du
28 au 29 novembre, le mois dernier ? "
" Je rien entendu. Je désolé. Vraiment. Mais,
je noté activités particulières, beaucoup
de passages de tanks. "
" pas de bruit vous dites ? "
" Non "
Sur le chemin du retour
:
" Voyons Harm, c'est pas possible. Comment une bombe peut-elle
exploser sans faire de bruit tout en faisant un tel cratère
?sans noter la déflagration. Tous les arbres dans un rayon
de 200 mètres ont perdu leurs feuilles . "
" J'appelle l'Amiral. " coupa Harm avec un ton si préoccupée
que Mac commença à se demander où est c-
qu'elle avait attérrie.
Harm s'arrêta devant
un bureau de poste. (eh oui, y en a dans ce pays !)
" je voudrais une
communication pour les Etats Unis, s'il vous plaît. "
" En PCV ? "demanda l'opératrice.
" Oui, oui, c'est au frais de l'Oncle Sam. " répondit
il en rigolant.
" Ne quittez pas, un instant. "
Une minute plus tard :
" Amiral, ici le capitaine Rabb. Nous avons rejoint le lieu
de l'explosion. Il se trame des choses vraiment très bizarres.
Demandons avec le Colonel Mackenzie autorisation d'enquêter.
"
" CAPITAINE !Rentrez tout de suite à Washington.
C'EST UN ORDRE ! "
Harm du éloigner le combiné de son oreille.
" A propos nous avons vu Webb… " lança-t-il
pour provoquer l'Amiral. Il savait que celui ci n'aimait pas
voir qu'on piétinait ses plates bandes.
" Webb…j'en étais sûr. La CIA…Bon,
prenez le premier avion, et rentrez. Je vous le répète,
c'est un ordre. Mais, passez moi d'abord le Colonel Mackenzie."
" l'Amiral veut vous parler. "dit Harm en tendant le
combiné à Mac.
" Bonjour Amiral. Nous… "
" Convainquez le Capitaine de rentrer. J'ai peur qu'il fasse
preuve de trop de zèle. "
" A vrai dire Amiral, c'est moi qui est décidé
de venir jusqu'ici… "
" Rentrez à Washington ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! "
dit il en se demandant intérieurement ce qu'il allait
faire de ces deux là.
" J'ai l'impression qu'on va en prendre pour notre grade.
Je suis désolée c'est ma faute. "
" Mais, non, si je n'avais pas été d'accord,
je ne vous aurais pas suivi de toute façon. Allez, allons
faire nos bagages. "
Le lendemain,
Dans l'avion.
" veuillez attachez
vos ceintures, nous entamons notre descente. La température
au sol est de 5°. Nous espérons que vous avez passé
un agréable voyage. "
" Mac, réveillez vous ! Vous avez dormi durant tout
le vol . "
" Quoi, quoi ?où sommes nous ? "
" Eh bien nous sommes arrivé. Il est 21h35. "
Devant l'aéroport,
21h45.
" Je vous ramène
chez vous ? " demanda Harm
" Volontiers, merci. Je ne suis pas en état de conduire.
Je suis vraiment trop fatiguée. "
Devant l'immeuble de Mac,
22h45.
" Vous monteriez bien
un instant vous réchauffer ? "
" d'accord. "
Bientôt, tous deux
furent assis, sur le canapé, avec trois couvertures sur
leurs genoux .
" Vous savez, je me
demande vraiment ce qui se passe là bas. Je ne comprends
toujours pas pourquoi nous avons vu Webb. Enfin. Ne bougez pas
d'ici. Je vais nous chercher une limonade. "
Pendant que Mac était
à la cuisine, le téléphone sonna.
" Laissez, laissez,
il y a le répondeur ! " cria Mac.
" Bonjour, vous êtes bien au 202-354-3657, laissez
moi un message et je vous rappellerai. " entonna le répondeur.
" Sarah, c'est Mic.
Tu me manques. Je t'aime. rappelle moi… "
Sarah Mackenzie accourra de la cuisine, sauta sur le téléphone.
" Mic !Moi aussi je… "
Mais il avait raccroché.
" Moi aussi je t'aime, c'est ce que vous alliez dire n'est
ce pas ? Vous voyez, vous savez bien ce que vous voulez en réalité.
A demain. Et il partit.
Mac courut dans l'escalier
mais ne put le rattraper.
" je crois que je viens de faire la plus belle erreur de
ma vie " confia-t-elle à Jingo
Arrivé chez lui,
Harm vit le répondeur clignoter. Il avait un message :
" Harm, c'est Renée, on pourrait se voir demain ?je
t'embrasse. "
Alors, il décrocha
le combiné, tapa un numéro…
" Allo, Renée ?Oui, il est un peu tard, mais toi
aussi tu me manques. Je t'aime. "
LA SUITE DANS LA PROCHAINE
PARTIE :
1°)que se passe-t-il réellement en Pologne ?
2°)Harm et Mac ?
3°)………
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